Crédits

 

Tous mes remerciements :


Les équipes du Muséum National d’Histoire Naturelle pour leur accueil, soutien et collaborations et, en particulier, Gilles Boeuf, Président, Bertrand-Pierre Galey et Thomas Grenon, Directeurs Généraux, Michel Guiraud, Directeur des Collections, Johanne Landry, Directrice des Galeries, Hugo Plumel Directeur de la Communication, Christian du Muizon, Directeur du Département Histoire de la Terre et François Robert, Directeur du Laboratoire de Minéralogie et de Cosmochimie du Muséum (LMCM), sans oublier l’aide précieuse de Madame Lenoir et d’Alice Lemaire de la Direction des Bibliothèques et de la documentation. Et sans oublier la DICAP (Direction de la Communication du MNHN) qui nous ont tant aidé : Estelle Merceron, Sophie Rio, Fanny Decobert et tant d’autres qui ont travaillé dans l’ombre.


Le CNRS (UMR 7202) ainsi que le mécénat de la Fondation Total pour son soutien financier pour diffuser nos connaissances et acquérir une réplique exacte du diamant bleu de Louis XIV et du «Hope».


Les collègues (et ex-collègues) du MNHN et d’ailleurs, spécialistes du diamant tels Hubert Bari, Violaine Sautter, Benjamin Rondeau, Emmanuel Fristch, Nassima Benbalagh, Henri-Jean Schubnel, Gabriel Carlier et Jean-Pierre Lorand pour n’en citer que quelques-uns. Ceux de Stanford qui m’ont toujours soutenu tel Gordon E. Brown Jr. et sa femme Nancy, my sweet American mother, qui nous a hélas quitté durant que cette histoire se construisait, histoire qui la fascinait tant.


A Gédéon Programmes, NationalGeographic et Arte de nous a donné la possibilité d’aller un peu plus loin que ce que avions déjà pu faire et, en particulier, Thierry Piantanida, Marie-Pierre Aulas, Diane Direthof, Alain Zenou, Séverine Cappa, Etienne, toute les équipes de tournage et tant d’autres. Et Stéphane Bégoin, co-réalisateur du film, qui fut de toutes nos aventures et a inspiré nos écrits.


Thierry Ragobert, notre complice de la première heure, qui nous a fait rencontrer Elsa Lafon, notre éditrice, qui n’a pas hésité une seconde à se lancer dans l’aventure et nous a encouragé par son enthousiasme tout au long de notre parcours d’écriture. Et bien sur, Huguette Maure, directrice littéraire chez Lafon, dont le redoutable stylo rouge fit somme toute bon ménage avec le diamant bleu.


Emmanuel Haymann, pour son aide.


Karen et Scott Sucher, pour leur accueil royal dans leur belle maison de la montagne du Nouveau-Mexique et Scott en particulier pour ses patientes explications sur les mystères de la taille du diamant bleu et nos promenades nocturnes sous les étoiles.


Herbert Horovitz, joaillier à Genève, pour l’accès à sa précieuse bibliothèque de livres anciens, sa passion pour la Toison d’or et le « Bleu de France » comme il appelle le diamant de Louis XIV, mais aussi son humour lapidaire et son hospitalité. Ainsi qu’à ses deux talentueux complices dans la reconstitution de la Toison d’or, le dessinateur Pascal Monney et le joaillier Jean Minassian.


Jeffrey Post, conservateur des gemmes et minéraux à la Smithsonian Institution de Washington, pour son aide précieuse, l’interview qu’il nous a accordée et pour avoir sorti le diamant Hope de sa vitrine et permis la confrontation historique avec le plomb du Muséum.


Richard Kurin, directeur adjoint du Smithsonian, à Washington, pour nous avoir fait profiter de ses talents de conteur, ses connaissances encyclopédiques sur le diamant bleu et pour l’excellent livre qu’il lui a consacré.


Tarun Adlakha, négociant en minéraux, qui fut un merveilleux guide en Inde sur les traces de Jean-Baptiste Tavernier.


Robert Beer, Chief, Cartographic Information Services, Geological Survey, à Reston, États-Unis, pour les documents originaux sur le diamant Hope.


Paul Van der Steen et Jan Dehau, de Matrix Diamond Technology, à Anvers, pour nous avoir permis de réaliser un modèle numérique du moulage plomb retrouvé au Muséum.


Pierre Rainero, directeur de l’Image, du Style et du Patrimoine et Michel Alliaga directeur adjoint de l’information, de la maison Cartier, pour nous avoir aidés à faire revivre les riches heures de la Belle Epoque.


Sylvie Casgrain et Hélène Guichard pour nous avoir guidés dans les arcanes des Archives Nationales, à Paris.


Bleue-Marine Massart, Université Paris IV, pour ses recherches érudites sur Pierre-André Jacquemin.


Philippe Nicolet, réalisateur suisse, qui a tourné en 2005 Les voyages en Orient du Baron d’Aubonne et a fait rééditer des extraits des Voyages en Orient du baron d’Aubonne.


Victor Piantanida pour ses photographies toujours pertinentes.


Nos proches, fidèles sources d’inspiration et de relecture, tel Michel Ducastel de la Croix et son chat « doudou » mais aussi quelques autres comme Lully et Vivaldi.


La Marine nationale qui nous a offert l’émotion d’un retour de la Toison d’or reconstituée au Garde-Meuble royal devenu Hôtel de la Marine, dans les lieux mêmes où elle fut volée en 1792.


Henri Philipp Hope, qui nous a légué - via « Mr Achard » - un plomb dont tous deux avaient bien compris tout l’intérêt mais qui attendit 200 ans pour être identifié et reconnu à son incroyable valeur.


Et Jean Pittan, grand oublié de l’Histoire comme la France sait - hélas - superbement en produire, le seul génie de cette histoire retrouvée; histoire qui est loin d’être terminée...